Des pas sur le sable, en alexandrin.

Publié le par Marielle

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J'aimerai aujourd'hui publier ce magnifique poème adapté du texte du poète brésilien Ademar De Barros, écrit par mon ami Jean-Michel.

 

 

 

 

 


DES PAS SUR LE SABLE

 

Un jour que je dormais, de ce sommeil paisible

Qui survient tout à coup après un dur labeur

Je fis un rêve étrange, merveilleux, impossible

Je marchais sur la plage avec Notre Seigneur.

Ô songe merveilleux, ô images troublantes

Qui m’émeuvent encor et que je n’oublie pas

La mer léchait nos pieds et l’onde écumante

Imprimait sur le sable la trace de nos pas.

 

Le paysage changeait de façon incessante

Il devenait alors le décor de ma vie

Chaque jour me montrait les joies et les tourmentes

Tout ce que j'ai vécu jusques à aujourd'hui.

« Mon enfant n'aie pas peur, je suis à tes côtés »

Dit le Seigneur Jésus, en me montrant nos pas.

« Depuis que tu es né, je t'ai accompagné

Cette empreinte est la tienne, la mienne c'est celle-là. »

 

Alors me retournant, je contemplais les traces

Et vis que par endroits il manquait une empreinte

De Jésus où de moi, laquelle  était en place ?

Et je fus tout à coup pris de doute et de crainte.

Cela correspondait aux jours où la souffrance

L'angoisse, le désespoir, et puis aussi  la peur

Ont torturé mon âme, mon esprit, ma conscience

Au point d'envier la mort pour stopper mon malheur.

 

J'interrogeais Jésus, d'une voix bien tremblante,

« Seigneur j'ai accepté de vivre avec Toi

Car tu avais promis que même dans la tourmente,

Tous les jours de ma vie, tu serais avec moi.

Dans les jours les plus sombres de ma pauvre existence

Je ne vois qu'une trace, et j'en suis étonné

Tu m'as laissé donc seul dans ces temps de souffrance

Pourquoi, Seigneur Jésus m'as-tu abandonné? »

 

Le Seigneur répondit, de sa voix rassurante

« Je t'aime mon enfant, tu es mon bien précieux

Ne te tourmente pas pour cette trace absente

Jamais je n'aurais pu t'éloigner de mes yeux

Les jours où tu ne vois qu’une trace de pas,

Ces jours où la souffrance, t'empêchait de marcher

J'étais bien avec toi, surtout n'en doute pas

Car c'est moi, mon enfant, c'est moi qui te portais. »

 

Jean-Michel LAFON

25 avril 2010

Publié dans histoires à méditer

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F
<br /> Voir mon blog(fermaton.over-blog.com),No-14.- THÉORÈME ANGELO. - LE PAIN DES ANGES ?<br />
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(
<br /> <br /> Bonjour,<br /> <br /> <br /> Vous êtes cordialement invité à visiter mon blog.<br />       <br /> Description : Mon Blog(fermaton.over-blog.com), présente le développement mathématique de la conscience humaine.<br /> <br /> <br /> La Page No-7: LA VIE EN ABONDANCE !<br /> <br /> <br /> LA RÉSURRECTION DU CHRIST ET LA PHYSIQUE QUANTIQUE !<br /> <br /> <br /> Cordialement<br /> <br /> <br /> Clovis Simard<br /> <br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> merci, je passerai volontier visiter votre blog,<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> A très bientôt.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Marielle<br /> <br /> <br /> <br />
A
<br /> <br /> Très joli poéme!<br /> <br /> <br /> Très joli blog!<br /> <br /> <br /> Je reviendrais!<br /> <br /> <br /> Amicalement<br /> <br /> <br /> Lionel<br /> <br /> <br /> <br />
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