ils ont vu les anges...

Publié le par Marielle

  Ils ont vu les Anges, ils témoignent.... 

 

 

Ici, nous avons des témoignages de rencontres Angéliques vécues du vivant des protagonistes.

 je les trouve aussi surprenants qu'édifiants, et ils me portent à penser que même en dehors de situations catastrophiques, nous pouvons, sans le savoir, avoir affaire à l'un d'entre eux au cours de notre vie.

Qui n'a jamais rencontré une personne qui avait les réponses à notre questionnement le plus secret?? 

Qui n'a jamais été illuminé par une personne qui est venu nous parler dans un moment de grande solitude, nous rendant un espoir nouveau??

Je suis certaine qu'en y réfléchissant bien , chacun d'entre nous à vécu un ou plusieurs de ces moments de lumière, avant de les oublier.

Et bien je pense qu'après lecture de ces témoignages,  nous serrons plus attentifs aux événements qui surgissent dans notre vie, et nous aurons un regard plus clair sur la nature du monde qui nous entoure

Image de Mario Duguay marioduguay.com

 
 

 

Jean O s'était rendue en week end avec des amies au bord d'un lac. Ses amies qui ne savaient pas nager se sont allongées pour se faire bronzer. Jean s'est jetée à l'eau et s'est dirigée vers le large. Brasse après brasse, elle s'est beaucoup éloignée de la berge. D'un seul coup elle a senti que le souffle lui manquait et qu'elle n'aurait pas assez de force pour revenir.
Elle a été prise de panique. La rive était très éloignée,et personne ne remarquait les grands geste qu'elle faisait avec les bras. son agitation augmentait rendant sa situation de plus en plus critique. Jean se rendit compte qu'elle risquait de se noyer. Désespérée, elle pria: "mon dieu, aide moi!!" (...) aussitôt après, elle sentit que l'eau se déplaçait et elle vit un jeune homme qui nageait avec assurance. Quand il s'est trouvé près de Jean, le jeune dit: "Bonjour, je suis chargé de la sécurité de ceux qui sont dans l'eau. Quelque chose ne va pas?
-Je suis épuisée, a répondu Jean, et je n'arriverai jamais à revenir seule.
-Au contraire, tu vas y arriver, répliqua le surveillant, je nagerai à coté de toi, et tu me suivras jusqu'à la berge".
Jean se senti un peu rassurée parce que le jeune homme pouvait la secourir à tout moment. Elle rassembla toute son énergie, et brasse après brasse, elle regagna la berge, en suivant toujours son guide.
Après avoir rejoint la rive, elle dit à ses amies:"j'ai failli me noyer.. si il n'y avait pas eu ce maître nageur...

-Quel maître nageur? répliquèrent ses amies. Jean se retourna, il n'y avait plus personne.


 
Corrie Boom aime bien raconter un épisode de sa vie qui s'est déroulée pendant une révolte au Zaïre au moment où les rebelles se sont dirigés vers une école où se trouvaient beaucoup d'enfants de missionnaires. "Ils étaient décidés à tuer les enfants et les enseignants, écrit Corrie dans un de ses livres, Dans l'école tout le monde savait quel danger les menaçaient, et ils se mirent à prier.
Alors que les rebels étaient à présent très près de l'école, il survint un événement imprévu; les hommes firent demi tour et s'enfuirent en courant. Ce même phénomène se reproduisit deux jours de suite. Un des rebelles blessé se fit hospitaliser à la mission. Le médecin qui le soignait lui a demandé: Pourquoi n'êtes vous pas rentré dans l'école comme vous aviez l'intention de le faire?
-Nous n'avons pas pu, fut la réponse surprenante du rebelle. Nous avons vu des centaines de soldats en uniforme blanc; et nous avons eu peur.
 
 

 

Kerry C, une jeune mère au foyer, venait d'avoir une petite fille. elle commençait à s'habituer à toute une série de situation nouvelles, par exemple aller faire les courses avec le landau.
"j'était dans la rue avec une amie, et nous regardions la vitrine d'un magasin;j'ai quitté des yeux pendant un instant le landau qui contenait les courses et mon bébé qui dormait. Vous pouvez imaginer ma frayeur quand j'ai vu le landau qui commençait à dévaler la pente, et qui allait finir sa course au beau milieu de la route pleine de voitures.
Il n'y avait aucun passant en vue, et Kerry tenta de courir après le landau. Elle fut stupéfaite en voyant un homme grand, avec un manteau marron qui apparu soudainement devant le landau et le stoppa net. Les premiers mots prononcés par Kerry fut "Dieu soit loué!" L'homme répliqua doucement "oui, vraiment!"
Kerry ajoute: "je m'attendais à ce qu'il me reproche ma négligence, mais il ne l'a pas fait. je me suis tournée un instant vers mon amie en tremblant de soulagement et de joie. Quand je me suis retournée, l'homme n'était plus là. J'ai regardé autour de moi, mais il avait disparu".
 

 

David M. devait se rendre du Texas en Caroline du Nord, et un de ses amis, Henry, se proposa de l'accompagner avec son avion, un Cessna 180. C'était la première fois que David montait dans un avion de tourisme mais il s'y habitua rapidement et profita du vol et du pa­norama qui s'étendait sous ses yeux.
Cependant, tandis qu'ils survolaient Green­ville, en Caroline du Sud, le brouillard, qui avait été jusque-là plutôt clairsemé, se transforma en une masse de plus en plus dense formant un véri­table mur blanc. Inquiet, Henry contacta par radio l'aéroport d'Asheville pour obtenir des instructions.
« La piste est fermée à cause du brouillard, lui répondit le contrôleur de la navigation aérienne, et nous ne sommes par équipés pour les atterrissages en pilotage automatique. Retournez à Green­ville et atterrissez. »
« Mais nous ne pouvons pas, répondit le pilote, nous n'avons plus assez de carburant pour retourner à Greenville. » Après quelques instants de silence, la voix de la radio reprit : « OK, nous allons préparer 1e personnel au sol. Vous allez effectuer un atterrissage d'urgence. »
Ils volaient à travers un manteau gris et épais, et 1a tour de contrôle d'Asheville ne pouvait absolument pas les voir. Comment feraient-ils pour atterrir ? Après avoir jeté un bref coup d'oeil à la carte, le pilote commença son atterrissage à l'aveuglette. La piste devait en principe se trou­ver sous eux ; mais si ce n'était pas le cas ?
Soudain, on a entendu une voix à la radio qui disait : « Reprenez de l'altitude ! Reprenez de l'altitude ! »
Henry fit immédiatement remonter l'avion et i1 se mit littéralement à trembler en regardant en dessous : « Au lieu de la piste d'atterrissage, nous étions en train de survoler l'autoroute qui était traversée un peu plus loin par un pont contre lequel nous nous serions certainement écrasés. » L'aiguille de la jauge à carburant était sur le zéro, et Henry tenta encore une fois (le descendre, mais il effleura la cime des arbres et dut remonter rapi­dement. I1 semblait qu'il n'y avait plus rien à faire.  Mais la radio se fit à nouveau entendre : « Perdez un peu d'altitude. Maintenant virez à droite. Descendez encore un peu... » Ce vol tournait au cauchemar sans fin.
"  Maintenant reprenez de l'altitude. Cela ne va pas comme ça, vous êtes trop à gauche... » Henry exécutait les instructions comme un automate. D'un seul coup, 1a voix de la radio dit : « Voilà, vous êtes au-dessus de la piste : atterris­sez ! »
L'avion est encore descendu lentement, jusqu'à ce que l'on voie la piste, délimitée par des feux. Quand ils sont sortis de l'avion, Henry a couru voir le contrôleur aérien : « Merci, vous nous avez sauvé la vie ! » Sa réponse laissa les deux hommes sans voix : « Qu'est-ce que vous dites ? Nous avons perdu le contact radio avec vous juste après vous avoir dit de retourner à Green­ville. »

« Comment ? » a répliqué Henry incrédule. « Oui, nous ne vous avons plus entendus, ni entendu qui que ce soit. On a été interloqués quand vous avez atterri au milieu du brouillard ! »

Ces témoignages sont tirés du Grand livre des Anges de P. OLIVER   A. PENNA  SURABILE E.  GUISTILLA  ed DE VECCHI

Publié dans Anges gardiens

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V
Les voix de DIEU sont inpénétrables, l'Ange Gardien veille toujours sur vous,
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C
c'est dingue des choses pareilles!!!
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